Ce Rêve MA Ouvert Les Portes De La Soumission.
Mon songe commence directement. Je suis allongée sur le dos sur un autel apparemment en marbre blanc, très froid, dans une chapelle aux voûtes peintes et dorées dont le décor vacille sous les mouvements des cierges. Un grand silence menveloppe. Je suis totalement nue sous un tissu noir doù émerge ma tête, ma chevelure soigneusement brossée me sert dauréole. Sous mes fesses un support comme une cale géante rehausse ma zone génitale. Cette immense cale de bois possède des anneaux auxquels mes poignets et chevilles sont attachés sur le côté. Je ne peux bouger, je ne suis pas libre, mes genoux sont fléchis, mes cuisses et mes jambes sont écartées. Je suis comme offerte à je ne sais qui, mon corps est sous un tissu noir. Une multitude de questions me martèlent lesprit. A qui suis-je offerte? Que mest-il arrivé ? Où suis-je ? Je ne me souviens de rien ? Je ne tarde pas à avoir les premières réponses. Une vingtaine de personnes entrent, elles se suivent en file indienne régulière, espacée dun à deux mètres. Les personnes sassoient sur les bancs de part et d'autre dune allée centrale où court un épais tapis rouge sombre. Tout à coup, une clochette retentit. Tous se lèvent. Du côté du chur entre une personne de noir vêtue de la tête au pied, un masque sur le visage. Ses mains masculines, sont puissantes. Il sapproche de moi, fait un signe aux fidèles qui se rassoient. Après un moment dimmobilisation, son regard sombre fixe le mien, il pince le tissu qui me protège au niveau de mon nombril et le soulève lentement. Doucement, mon corps est dénudé. Une sensation de froid baigne mon corps. Heureusement lassemblée me voit de côté, je me sens dans un premier temps rassuré. Le maître de cérémonie commence par caresser mes joues avec ses deux mains, elles descendent symétriquement sur mon cou, continuent sur mes seins ou elles font un tour puis sur mon ventre de part et dautre de mon nombril. Leur périple se poursuit sur mes hanches et sur lextérieur des cuisses jusquà mes chevilles.
Ce passage sensuel excite mes sens, ma peau se réchauffe. Les mains du Maître de cérémonie remontent ensuite sur le côté interne de mes jambes, de mes cuisses, et sarrête au niveau de mon périnée. Je mattends à quelque chose de sexuel, une pénétration, une masturbation, rien. Ses mains sarrêtent un instant, puis il les retire.
Derrière lui un serviteur cagoulé approche, il lui tend un plateau sur lequel sont disposés des grelots dorés. Il ressemble à ceux que les pêcheurs mettent à lextrémité des cannes à pêche pour détecter la présence de touches.
Il pose ses mains sur mes seins puis en choisit un quil masse en insistant sur le téton. Il prend un grelot sur le plateau, il le fait tinter pour les fidèles. Il le presse entre son index et son majeur. La pince sécarte et pendant quil le fixe à mes tétons il tinte. Je sens le serrage lent et précis sur mon téton. Je retiens mon souffle, la douleur du pincement est forte, il recommence, me masse lautre sein, pince des ses doigts le tétons, lexcite, prend un grelot, le fait sonner en le montrant aux fidèles puis le pose sur mon deuxième sein. La même douleur me saisie, je me cambre en retenant ma respiration. Il sent que je souffre, il me masse le ventre dun mouvement circulaire annonçant probablement aux fidèles quil va soccuper de cette partie de mon corps. Il fait quelques pas en arrière, un fidèle lui tend une poignée dorties, il la saisit, revient vers moi puis la pose sur ma poitrine, les piquants me font réagir, jessaie de me dérober, les grelots teintent. Il continue à me caresser les seins avec puis il poursuit sur le ventre où il dépose les orties.
A plat, sur mon nombril, elles moffrent un vêtement urticant, qui dans un premier temps me piquent puis la démangeaison sinterrompt.
Il saisit un cierge sur un bougeoir. Il commence par faire le tour de mon corps avec puis le passe au dessus de mon visage de ma poitrine en prenant soin que la cire ne tombe pas sur mon corps il se déplace et se met debout entre mes jambes, il lève le cierge enflammé pour le montrer au public puis le descend au niveau de mon clitoris, la chaleur se fait de plus en plus forte, il le laisse une bonne minute réchauffer mon anatomie.
Le maître appuie sur un bouton sur le boitier, puis tourne complètement un bouton. Je marque boute sous leffet dune violente décharge électrique, lassemblée silencieuse murmure. Ensuite il baisse lintensité puis recommence à nouveau pour voir ma réaction. Je me cambre à nouveau ce qui a pour conséquence douvrir mon sexe.
Il baisse lintensité électrique puis avec le boitier répartit le passage dun disque vers lautre. Lélectro stimulation se fait comme une rotation dans le sens des aguilles dune montre. Mes abdominaux se crispent alternativement dun côté puis de lautre. Il laisse le boitier. La femme repart sasseoir. Lorsquelle a repris sa place le maitre de cérémonie agite à nouveau la clochette.
Derrière les deux hommes le fidèle et le Maître de cérémonie, le serviteur réapparait avec son plateau. Su celui-ci je vois deux tubes de métal doré, du diamètre dun manche à balais. Le fidèle prend un des tubes dans sa main, le pose sur mon ventre, puis prend lautre. Le serviteur recule. Le fidèle tourne autour de lautel, se met face à moi. Sur le dos, les jambes et les cuisses attachées, je lui suis offerte. Il montre le tube à lassemblée, le fait tourner sur lui même puis écarte mes petites lèvres et me pénètre dun coup. Heureusement, depuis le début de la cérémonie, la peur sans doute ou plutôt lémotion font que mon sexe sest lubrifié.
Il prend alors le second tube posé sur mon ventre, il retire énergiquement le cierge qui se trouve dans mon anus et me pénètre avec le second tube, sans lubrifiant, marrachant au passage un murmure de douleur.
Me voilà avec deux banderilles fichées dans le corps, dans mes deux orifices intimes. Dune main il prend le premier tube puis le fait tourner sur lui même. Puis il fait de même pour le second. Le Maître de cérémonie qui me fait dans les yeux depuis le début des pénétrations, se déplace un peu il empoigne le tube dont lautre extrémité est dans mon vagin. Lofficiant empoigne lautre. Dans un premier temps, les deux hommes font des mouvements de haut en bas, utilisant les tubes comme des leviers. Je ressens de curieuses sensations, la pression du tube sur le haut et le bas de la paroi de mon vagin, et en même temps sur le haut et le bas de la paroi anale, les mouvements vont lentement puis le rythme saccélère toujours en accord les deux en haut et les deux en bas. Puis les deux hommes arrêtent.
Après une bonne centaine de rotation, lofficiant retire le tube de mon anus et retourne sasseoir. Le Maître de cérémonie continue. Il retire le tube et plonge ses doigts dans mon vagin, avec le pouce il masse mon clitoris. Je suis sur un point de tension extrême, des spasmes commencent à me parcourir. Il arrête et sort le tube.
Il ne fait plus aucun doute, je ne dois pas avoir dorgasme. Le plaisir mest interdit.
Il se remet au milieu de lautel et montre les tubes lun après lautre avec un doigt indiquant une distance. Sans doute la longueur de pénétration que jai subie. Lassemblée murmure.
Le serviteur savance, avec son plateau. Il pose les tubes dessus. Le serviteur se retire. Le Mâitre de cérémonie arrête lélectricité. Tant jétais torturé javais oublié lélectricité. Il retire les disques métalliques.
Le serviteur savance à nouveau avec un bol contenant un liquide huileux. Le Maître de cérémonie fait à nouveau teinter la cloche.
Une personne sapproche, ses mains sont celles dune vieille femme, ridée avec des doigts extrêmement long, des ongles coupés court.
Le Maître de cérémonie prend le bol, le penche, le liquide huileux coule sur mon ventre puis entre mes seins, il le fait passer dans lautre sens et je sens lhuile glisser sur mon mon de Vénus et mon périné.
La femme commence par étaler lhuile sur mon abdomen, létale sur la poitrine, puis sur mon bas ventre, elle ne manque pas dimmobiliser mon clitoris avec son pouce et me pénètre le vagin avec deux doigts je pense. Le Maitre de cérémonie me fixe dans les yeux, il lui fait signe de soccuper de ma poitrine et de mon ventre. Elle commence à me caresser vigoureusement le haut du torse, puis entre les seins, puis ses deux mains se posent sur ma poitrine généreuse. Avec un mouvement de rotation, elle malaxe mes seins, insistant sur les zones où les piqures dortie sont encore douloureuse. Les grelots sagitent. Le maitre de cérémonie les retire. Cest un soulagement pour moi, mais je sens un léger coulement sur le sein gauche. ais-je. Je narrive pas à voir en effet si je redresse la tête, je vais me cambrer et offrir davantage mon sexe. Je ne veux pas donner ce spetactlce au Maître de la cérémonie.
La femme continue le massage sur mon abdomen, autour de mon nombril. Elle appuie et relache ses mains. Elle joue sur les effets de pressions. Elle commence à prendre ma peau et la chair entre ses doigts des deux mains, la fait rouler en serrant. Je commence à apprécier, le Maître de cérémonie sen aperçoit. Il le voit dans mon regard. Il ne dit rien cette fois. Il effectue quelques pas en arrière, il se met sur la réserve. Vais-je avoir un peu de plaisir dans cette cérémonie dun genre particulier. Je ne sais pas. La masseuse continue, elle descend vers le bas-ventre, elle insiste sur mon mont de Vénus puis à nouveau le Maître savance. Je comprends quil ne veut pas quelle entre en contact avec mon intimité. Elle remonte lentement de part et dautre de mon abdomen puis glisse ses mains sous mes flancs, comme pour essayer datteindre le milieu de mon dos.
Ce massage ne manque pas de me faire cambrer. Je suis encore plus offerte. Le Maître le sait. Il sonne la cloche à nouveau, la masseuse continue son uvre. Je ne comprends pas, personne ne se lève.
Elle sinterrompt, puis se retire.
Le Maître de cérémonie reste seul près de moi. Je me doute que cest un tournant de la cérémonie. Il détache mes mains et mes chevilles, jallonge aussitôt mes jambes en faisant quelques mouvements.
Jai très mal au dos. Cette position allongée le bassin surélevé ma éreinté. Jaimerai bien me lever, bondir et partir, mais tous les fidèles se sont levés et ont commencé à former un arc de cercle sur le tapis rouge devant lautel.
Le Maître de cérémonie, me prend par le coude, je pivote sur le côté et me retrouve assise sur le bord de lautel. Face aux fidèles. Je suis assise et nue. Mes fesses sont sur le marbre froid. jai la chair de poule. Je tremble à moitié. Il le voit. Le serviteur sapproche avec son plateau sur lequel il y a un verre et à côté une brique de lait. Il men verse un verre et me le fait boire. Jessaie de saisir le verre de ma main, il me fixe froidement, je comprends quil ne veut pas. Je suis à sa merci. Il repose le verre sur le plateau. Le serviteur se retire. Le Maître de cérémonie me fait signe de descendre de lautel. Je mexécute. Maintenant je suis nue, face aux fidèles. Je tressaille démotion. Il me prend la main et me fait faire quelques mètres.
Jarrive sur le tapis rouge. Les fidèles ferment le cercle autour de nous. Je suis au centre avec le Maître de cérémonie. Ils sont à environs trois mètres de moi.
Le Maître de cérémonie entonne un chant lugubre, comme un chant de cérémonie funéraire, les fidèles font de même, après une minute de chant, le Maître de cérémonie, lève la main droite, il se met sur mon côté gauche, un peu derrière moi. Que va-t-il marriver ? Sa main sabat sur ma fesse droite. Cette fessée dont le bruit retentit sous les voutes est la première, une seconde va arriver sur ma fesse gauche.
Le serviteur coupe la ronde des fidèles et approche une chaise. Le Maître de cérémonie sy asseoit. UN second serviteur, que je navais pas vu arrive dun autre côté, coupe la ronde et avance un basset. Une sorte de petit banc rehaussé à quatre pieds sur lequel je suis invitée à me mettre à plat ventre.
Comme je ne suis pas exactement au bon endroit le Maître de cérémonie, me donne une petite claque sur le haut de la cuisse, il veut que mes fesses soient exactement au niveau de lextrémité du banc.
A partir de ce moment je sais que je vais subir des châtiments corporels, fessée peut-être martinet, fouet... je ne sais pas.
Le Maître de cérémonie se rassoit. Il attend. Un des fidèles se lève. Il se met face à mon postérieur et massène une fessée qui retentit à nouveau. Puis à tour de rôle chacun vient frapper mes fesses. Je ressens des mains larges et puissantes, sans doute des hommes, des mains moins larges mais très énergiques de femmes. Dailleurs jai limpression que ces fessées moins puissantes en apparence sont beaucoup plus douloureuses. Elles sont moins large et limpact est cinglant. Lorsque tous les fidèles sont passés, tous sagenouillent. Le Maître de cérémonie se lève. Il pose ses mains sur mes fesses, effectue quelques mouvements de massage.
Un serviteur sapproche à nouveau. Il lui présente un plateau avec divers godemichés. Il en prend un lentoure de son pouce et de son index comme pour le mesurer. Il le pose, en prend un second, le soupèse et le pose. Finalement son choix sarrête sur un troisième. Celui-ci nest pas lisse, il semble en latex noir avec des aspérités.
Il le trempe dans un bol de gel à côté puis me lenfonce sans hésitation dans lanus. Il me strie lintérieur, je crie de douleur. Je reçois une cinglante fessée. Il le retire et recommence, cette fois-ci jessaie de ne pas crier, mais la douleur est encore la plus forte, je crie modestement, et reçois à nouveau une fessée.
Alors que le godemiché est enfoncé dans mon anus, un serviteur avance avec sur un plateau des baguettes, des martinets. Le Maître de cérémonie, en choisit un avec de courtes lanières terminées de morceaux de métal. Il le tend à un fidèle en face.
Ce denier avance denviron deux mètres et prends le martinet. Il lève la main, me frappe une première fois sur les fesses, puis après un répit une seconde fois et rapidement derrière une troisième fois. Visiblement je subis une correction. Je ne dois pas crier quoiquil arrive. Le Maître de cérémonie est fâché.
Après ces fessées et ces coups de martinets, il me caresse les fesses, insistant sur les marques douloureuses que je porte. Chaque passage de ses mains, me meurtrit davantage. Il arrête un instant.
Les fidèles à genoux se lèvent et se dirigent vers une grille en fer forgé.
Le fidèle qui tient le martinet me pousse avec le bout. Il veut que je suive le groupe. Je me sens humiliée. Je suis, les fidèles sécartent. Le Maître ferme la marche. Arrivée près de la grille, je remarque que la distance entre celle-ci et le piler de soutènement de la voute est relativement court. Des anneaux sont fixés dans ce pilier. Je me dis que je vais y être attachée et y subir dautres coups.
Tous se taisent. Le silence est lourd. Le Maître de cérémonie réfléchit ou prépare un plan diabolique. Je ne sais. Finalement il attache mon poignet droit à la grille, lautre à la chaine qui est accrochée au pilier. Il attache ensuite ma cheville droite à la grille. Un serviteur apporte un tabouret sur lequel il exige que je pose le pied, celui-ci est sanglé au tabouret.
Ainsi en équilibre sur le pied droit, la seconde jambe fléchit pied posé et attaché à lassise du tabouret je ne peux plus bouger. Les fidèles se réorganisent pour voir le spectacle. Certains sont devant moi, dautres derrière moi.
Au goût du Maître de cérémonie, le tabouret est trop prêt de ma jambe droite. Il le pousse de son pied, le fait glisser. La position devient très inconfortable. Je suis totalement écartée.
Le Maître ordonne à trois fidèles de faire ce quils ont à faire. Il sassoit en face de moi, sur une chaise plutôt confortable. Je me sens fragile, comme un chrétien sur une croix. Certes mes mains et mes pieds ne sont pas transpercés, mais je suis nue, offerte aux regards des fidèles présents. Je remarque toutefois que ceux qui sont devant moi nont pas des mains de femmes. Y aurait-il eu un classement, les hommes face à moi, les femmes ayant mon dos comme spectacle ?
Les trois fidèles font un petit détour et se servent sur une table. Lun deux prend une poche contenant un liquide blanc, il prend un tuyau, lautre prend un seau. Le troisième prend des gants en latex et les enfilent.
Celui qui a des gants se dirigent vers moi, il me fait face, il me masturbe le clitoris dune main et pendant ce temps enfonce les doigts de lautre main dans mon vagin, deux doigt dabord, puis trois et quatre. Il les retire et poursuit vers mon anus, il y met deux doigts, quil écarte, puis trois doigts. Mestimant assez dilatée je pense, il fait signe au porteur de poche et de tuyau davancer. Celui ci lui donne le bout du tuyau sur lequel une pince limite larrivée du produit. Je vais subir un lavement en public ! Le porteur de poche laccroche à la grille. Lhomme ganté, mintroduit une canule dans lanus puis libère larrivée du produit. Je sens le liquide entrer dans mon corps. Il est chaud, cette douce chaleur me fait du bien. Rapidement, mon rectum se remplit, jai envie de faire, mais je nai pas le droit, je me laisse remplir. Je lutte contre lenvie de déféquer et lorsque je me crispe, mon ventre remplit me fait mal. Le temps découlement est long. Les fidèles ont entonnés un chant.
Le Maître de cérémonie se lève, lhomme au gant de Latex lui laisse le passage. Il sapproche de moi. Je suis toujours en équilibre sur ma jambe droite, la jambe gauche relevée. Leau circule dans le tuyau qui entre dans mon anus. La poche se vide lentement.
Le Maître de cérémonie, se met à genoux devant moi, il écarte mes petites lèvres, découvre mon clitoris, le pince avec ses doigts puis il le tire, le relache, le pince à nouveau, le tire et le relache, il sort un petit tube de sa poche, pose son extrémité dessus puis aspire lair avec sa bouche. Il est en train de me pomper le clitoris. Je sens que le sang afflue, il me semble quil gonfle quil prend du volume et se fait très sensible. Le maître continue puis ferme lextrémité du tube dans sa bouche avec le doigt. Mon clitoris est entubé. Il le tire un peu puis relâche, le tire à nouveau. IL fait le mouvement une dizaine de fois et retire son doigt. Il me présente au fidèle. Mon clitoris est saillant, gonflé sous leffet du pompage. Il écarte mes petites lèvres, le masturbe pour montrer que je ne suis pas insensible. En effet, jessaie de me retenir, mais je suis à la limite de craquer, je respire profondément. Le Maître de cérémonie le voit. Il se relève me fixe droit dans les yeux, sort de sa poche un gode gonflable. Il me pénètre le vagin puis le gonfle. Lécartement me surprend, il mexcite de plus en plus. Une fois bien en place, il le laisse et retourne sasseoir. Mon rectum est plein, mon ventre pèse, jai envie de relâcher mes intestins, la poche est totalement vide. Lhomme au gant de latex revient. Celui au seau sapproche. A cette minute je pense que je vais pouvoir me soulager. Jai tort. Lhomme au gant de latex retire le tuyau mais insère trois doigts à la place, comme un bouchon. Il écarte ses doigts dans mon anus puis y glisse un plug. Lhomme au seau est à moins dun mètre de moi, je ne sais pourquoi. Il le retourne sur ma tête, je ne vois plus rien, ma respiration est amplifiée par la présence de ce seau métallique. Il me semble que mes soupirs sentendent très loin. Je sens ensuite une fessée, suivie dune autre, puis celle-ci se font plus rapide. Une bonne dizaine. Jai du mal a accepter fessée sur mon ventre plein deau. Jai envie duriner. Je sens deux mains appuyer sur mon bas ventre, cest est trop, je ne peux me retenir davantage, jurine, debout, devant tout le monde le seau sur la tête mempêche de sentir les réactions. Je nai pas fini duriner que je sens quon retire le Plug de mon anus. Aussitôt mes intestins se soulagent. Selon le son, je devine que mon lavement est recueilli dans un seau. Leau chaude qui ma pénétrée, sort doucement par salves régulières. Cest la première fois que je subis un lavement. Je découvre cette sensation nouvelle. Alors que je pense avoir terminé, à nouveau je produis un jet chaud. Mes intestins continuent de se contracter, le jet arrête puis reprend cette fois-ci un peu plus longtemps après.
Je sens que quelquun retire le seau de dessus ma tête. Je respire à nouveau lair libre. Je commençais à dessous. Le groupe de fidèles est toujours devant moi, mais ils semblent très excités. Sans doute la vision de ce lavement. Personnellement je me sens sale, humiliée, je baisse la tête et les yeux. Le Maître de cérémonie sen aperçoit. Il se lève et vient me caresser les joues puis me pose un baiser prolongé sur la bouche comme pour me remercier de ce spectacle. Je suis toujours accrochée et ne peux lenlacer. Lui me serre dans ses bras. Sous son manteau qui me touche je sens son sexe dur prêt à me pénétrer. Jai peur. Va-t-il me sodomiser maintenant que je suis propre, me pénétrer normalement ou presque pendant que je suis attachée, je ne sais pas. Il entrouvre son manteau. Sur son sexe, il a mis un préservatif. Plus grand que moi il me prend une main sous chaque fesse, me décolle du sol et mempale sur son sexe Je suis coincée, attachée, les pieds dans le vide. Il me bourre violemment, puis fait signe à un fidèle me détacher. Celui-ci libère mes poignets je magrippe aux épaules du Maitre de cérémonie, il libère ensuite mes chevilles. Le maître de cérémonie qui me porte sur son sexe, me pose sur le sol et me pénètre à nouveau dun fort coup de rein. Il sort et recommence comme on assène des coups sur un supplicié au sol. Il mexcite le clitoris et en vain ne trouve pas mon point G. Il est vrai que jai une tendance à lanorgasmie. Il finit par éjaculer et reste un instant sur moi. Le poids de son corps sur le mien me rappelle que je ne suis pas en position de force. Lorsquil sagenouille. IL fait signe à quatre fidèle de sapprocher. Ceux-ci à tour de rôle protégé de préservatifs vont me pénétrer avec force, violence, essayant de me ravir un orgasme. Je suis trop fatiguée. Je voudrais que ces pénétrations cessent. Mon dos sur le tapis me fait mal. Ma paroi vaginale commence à me faire souffrir, elle séchauffe malgré la cyprine qui sen écoule.
Le quatrième homme me pénètre, très fort, il me soulève en sasseyant, je me retrouve sur lui. Je suis enfin dans une position dominante. Pas pour longtemps.
Un autre fidèle sapproche et me sodomise en se mettant à califourchon sur les cuisses de lautre homme. Je suis coincée entre deux hommes. Les coups de boutoirs saccélèrent, ma respiration est de plus en plus courte. Ils multiplient leurs efforts, je suis dans un état second, la fatigue lexcitation, le public qui me regarde je vais mévanouir... je me sens partir.
Et dun coup je me réveille en sursaut. Je suis chez moi dans mon lit, seule, intacte, aucune trace sur mon corps. Jai rêvé. Le Plug inséré dans mon anus avant de me coucher nest plus à sa place. Ce rêve m'a ouvert les portes de la soumission.
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